Maître Caldari
Messages : 6 Date d'inscription : 15/12/2014
| Sujet: Maître Caldari - Noble Ascalonien Mar 23 Déc - 19:11 | |
| Avant propos : J'ai hésité sur la forme, la taille, le fond ... Mais j'ai tenté de limiter niveau taille, de faire une forme simple et un fond assez vague pour rester ouvert à tout. Je verrai à l'occasion si j'affine ou pas. Faudrait que je fasse une petite fiche également. Ambiance sonore : - Traduction (Non exhaustive) :
Ici les innocents brûlent dans les flammes A un million de kilomètres de chez moi, j'avance Je suis glacé jusqu'aux os, je suis Un soldat de mon propre chef, je ne connais pas le chemin J'ai gravi les hauteurs du déshonneur Je demeure en attendant l'appel, la main sur la poitrine Je suis prêt pour la bataille, et la mort Le bruit du fer qui s'entrechoque résonne dan ma tête, Dans un tonnerre les tambours dictent Le rythme des chutes, le nombre de morts L'insurrection des cornes, en avant De l'aube des temps à la fin des jours J'aurai à fuir Je veux sentir la douleur et le goût amer Du sang sur les lèvres, encore Cette mortelle explosion de neige me brûle les mains, Je suis glacé jusqu'aux os, Je suis A un million de kilomètres de chez moi, je m'en vais Je ne peux me souvenir de tes yeux, de ton visage Ici les innocents brûlent dans les flammes A un million de kilomètres de chez moi, j'avance Je suis glacé jusqu'aux os, je suis Un soldat de mon propre chef, je ne connais pas le chemin J'ai gravi les hauteurs du déshonneur Je demeure en attendant l'appel, la main sur la poitrine Je suis prêt pour la bataille, et la mort Le bruit du fer qui s'entrechoque résonne dan ma tête, Dans un tonnerre les tambours dictent Le rythme des chutes, le nombre de morts L'insurrection des cornes, en avant De l'aube des temps à la fin des jours J'aurai à fuir Je veux sentir la douleur et le goût amer Du sang sur les lèvres, encore Cette mortelle explosion de neige me brûle les mains, Je suis glacé jusqu'aux os, Je suis A un million de kilomètres de chez moi, je m'en vais Je ne peux me souvenir de tes yeux, de ton visage
CALDARI« Si je suis maudit, je reviendrai la nuit vous harceler. Je m'en prendrai à vos visages et j'appuierai sur vos poitrines tremblantes. Je vous priverai de sommeil par la terreur. »
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SURNOM : On ne donne de surnoms qu'aux faibles ou aux fous. Caldari préfère l'épithète. ÂGE : 28 ans SEXE : Homme ORIENTATION : Homosexuel NIVEAU SOCIAL : Noble
ARME : Caldari ne se déplace jamais sans son arme principale : son esprit. En tant que maître des illusions il est capable d'invoquer à gré des armes es brumes. On notera la Vision de Brumes comme espadon, Lamesoupir comme épée(s), et l'Anomalie comme focus. Ces armes n'apparaissent que quand le besoin s'en fait sentir, comme sur les nombreux champs de batailles qu'il parcourt à travers la Tyrie.
ARMURE : Son armure n'est pas faite que d'illusions. Ainsi, même s'il pourra changer au rythme de ses envies, il aime à porter une tenue adéquate et assez résistante pour parcourir le monde. Il a opté pour une partie haute du Sorcier (t3 humain), avec un bas des veilleurs et des chausses légères du zodiaques. Le tout dans les couleurs de sa maison : Azorius. Bleu, blanc et doré.
QUALITÉS : Intrépide mais réfléchit. Il utilise avant tout sa raison pour triompher des difficultés. DÉFAUTS : Orgueilleux. Méprise les petites gens, ne croit qu'au bien commun peu importe le prix à payer. | «O vains espoirs, telle est la pire des épreuves : porter le poids de ses propres souhaits. » La neige tombait drue depuis des semaines. Le sol et les toits de la cité étaient recouvert d'un épais manteau blanc. Sur les flancs des montagnes alentours, les maisons semblaient s’être incrustées dans la roche recouverte. Le monde était blanc, le ciel était gris et un silence pesant semblait recouvrir les lieux. Caldari avait toujours été impressionné par le silence qui semblait régner lorsque la neige tombait des cieux. C’était comme si les Dieux avaient trouvé un moyen d’isoler le monde et de s’en séparer pour quelques mois en hiver en le recouvrant d’un voile.
Noirfaucon était pour Caldari sa demeure naturelle. La forteresse ne répondait certes pas au luxe dont était habitué le noble à Rurikton, mais elle lui évoquait son héritage Ascalonien à merveille. C'était une cité déchirée par des années de guerres face aux Charrs, par des troubles internes avec les rebelles indépendantistes et par des opposants au traité de paix. Mais plus que tout, c'était une cité dépendante qui tenait sa survie au Promontoire Divin. Ainsi, la population était partagée entre le désir de liberté et d'émancipation que permettait le traité, et celui de devoir supporter l'humiliation d'un texte qui semblait rendre tant de glorieux sacrifies inutiles.
Ce conflit primordiale qui alliait besoin d'unité et haine tenace envers l'autre race était aussi fort en Caldari qu'en chaque Ascalonien. Il était lui même descendant d'une très noble famille Ascalonienne qui s'était déjà par le passé illustré par sa vaillance au combat face aux Charrs. Son ancêtre, Yseut La Blonde, avait participé aux évènements qui avaient secoué les trois continents il y a de cela deux siècles. Comment alors pouvait-il accepter par fait un tel traité ? C'était impossible. Il haïssait l'esprit belliqueux et destructeur des Charrs et les soupçonnait qu'au moment où les dragons seraient vaincus, si l'on parvenait à les vaincre, que les Charrs se retourneraient une fois de plus contre les hommes. C'était dans leur nature, la guerre, le chaos, la destruction ... Pour l'heure il faisait avec et n'affichait rien de ces pensées. Il était après tout, membre honoraire du prieuré de Durmand, un sage parmi les sages, vouant sa vie à la recherche et à la connaissance. Parcourant le monde et ses champs de batailles. Non pour la gloire, mais par devoir. Devoir qu'il s'était lui même imposé.
Il menait cependant en secret des recherches plus obscures pour connaître et savoir combattre les Charrs, au besoin. Quand tout sera fini. Car la paix entre deux ennemis ne saurait former une amitié durable.
Caldari aimait errer dans les montagnes, il aimait l'hiver, le froid mordant ... Il tenait parfois plus du Norn que de l'Humain pensait-il avec amusement. Il n'était pas totalement méprisant, mais plus prétentieux. Et son égo était presque sa seconde arme après ses dons d'illusionniste. Il affectionnait tout particulièrement le refuge du mantelet où il passait aussi souvent que possible. Il avait placé là bon nombre de ses recherches.
Pour l'heure le maître illusionniste se déplace principalement dans les cimes froides à la recherche d'anciens artefacts magiques. Il n'est pas rare de le voir au Promontoire, à Rurikton ou à Noirfaucon. Il déteste les tavernes et les évite comme la peste.
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