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| Sujet: [EVENT GENERAL] Dans l'ombre de Mordremoth - Indices - Le journal Ven 6 Fév - 17:19 | |
| Foutu reverso, pas capable de répondre. Voila ce qui fut demander à Mhairi : il vous faudra attendre qu'elle vous le remette pour considérer en avoir connaissance en RP. Si l'un de vous trouves la réponse, on ferra tout ça à mon retour. Toutes les fautes dans les spoiler sont à considéré en RP. Ce sont des textes de personnages, comme vous l'aurez compris. En attendant, je vous souhaite un bon courage et une bonne chance pour résoudre le problème._Foutu sylvari ! Dégages de là ! Elle n'en revenait pas qu'elle l'ai retrouver. Et pourtant, cette foutu Mhairi était bien là, à lui demander où trouver la clef. Encore cette histoire. C'était impossible de se concentrer sur autre chose en entendant les cris à la porte. Elle était repartie directement au Promontoire après avoir entendu les deux guignols. Si c'était vrai, elle savait qu'on viendrait frapper à sa porte sous peu pour savoir où était la clé. Le récupérer n'avait pas était bien difficile. Elle savait où Ellyne l'avait déposé, sous quel nom, sous quel condition. C'était un souvenir qui n'avait pas disparu, peut-être car elle ne l'avait pas dissimulé elle-même. A vrai dire, elle n'en savait rien. Et peu lui importait : cette histoire était derrière elle, ça ne la concernait plus. Elle ouvrit la fenêtre, brandissant le livre. Elle ignorait ce qu'était que cette histoire de chalet où elle était censé habiter, d'après la sylvari. A la place, elle leva haut l'objet, et le projeta dans sa direction : _ Là est tout ce que vous saurez ! Sans attendre, elle claqua la fenêtre. Qu'ils se débrouillent. Une affaire plus importante que la survie du monde lui occupait déjà l'esprit... - Spoiler:
« Seul ...
Comment ne pas se sentir ainsi, ici tout le monde est différent, des enfants dans des corps d'adultes pour la plupart ... Mes parents étaient passionnés par la recherche et étaient venu ici dans l'espoir de comprendre ce peuple émergeant ... Les sylvaris ...
Mais ils a(v)aient péché par excès de confiance ... Aucun d'eux n’étaient capable de se battre et sans savoir de quoi étaient capable ces grands gamins, ils se sont mêlés à eux ... Je suppose que tout allait bien jusqu’à qu'il rencontre la cour des cauchemars ... Il n'avait fallu qu'un instant, je les ai vu périr sous mes yeux et j'ignore encore comment j'ai survécu.
Quand j'ai repr(i)s conscience je me suis réveillé dans une cosse de fleur aux abords de la foret de Caledon.
Deux de ces grands gamins prenaient soin de moi et je suis resté ... Mais ici j’étais finalement le seul gosse dans un corps de gosse. Il y en avait bien sur des plus malin que d'autres. Mais au final c’était chaleureux.
Mais rien au fil des années ne combla la solitude que je ressentais ou n’effaça la terrible image de la fin de mes parents ... J’étais décidé à ne pas devenir comme eux ... Faible ... Non, je serais fort, je serais un survivant ...
Les sylvaris malgré leurs candeur savaient se battre pour certains, j'ai appris d'eux, le maniement de l'arc jusqu’à surpasser mon professeur, j'ai appris à dresser les a(n)imaux, à vrai dire c’était plus des coups du sort.
Ma hyène avait tenté de me dévorer mais je lui avais botté le cul depuis on était inséparable. Je vous l'accorde une hyène c'est moche et disgracieux mais finalement on se ressemblait, l'un et l'autre on se foutait de la (g)ueule des autres à notre façon.
Seul, malgré la chaleur d'un foyer, a force de grandir c’était a se demander qui s'occupait de qui. J’étais pas bien vieux quand j'avais été recueillis mais pas tout gamin non plus ...
Mais les Sylvaris sont aussi un peuple ins(t)able, j'ignore comment mais tout deux avaient sombré dans le cauchemars ... Je ne pouvais pas laissé ça comme ça ... Alors j'ai chassé ... Et j'ai compris qu'il était trop tard pour les ramenés. Alors j'ai pris mes responsabilités, je les ai libéré de ça ...
Peu importe les bonnes intentions de chacun, on est toujours seul ...
Mais je me souviendrai d'eux pour ce qu'ils ont été et pas pour ce qu'ils étaient devenus. Merci ...
Mes premiers contact avec les humains étaient laborieux, des truands, des nobles, mais dans le fond c’était bonnet blanc et blanc bonnet. Qui marcherai sur l'autre pour en faire un meilleur marche pied, si ça pouvait les aider, y'avait aucune loyauté.
J'ai fais ce que je devais j’étais un survivant. Je suis un survivant. »
- Spoiler:
« Survivre ... Quel qu'en soit le prix, peu importe comment.
Ce sont les survivants qui font le monde, au final toute autre notion est superflue.
Dans une guerre, le survivant fera l'histoire. Et c'est ainsi pour tout.
Le bien et le mal en voila des concepts bien abstrai(t), le truc est la pour faire travailler ta conscience. Mais qui dicte ça? Qu'est ce qui est réellement bien et qu'est ce qui est réellement mal?
Quand je regarde autour de moi, ce que je vois c'est des brochettes de con ... A foutre leurs vie en l'air pour des idéaux qui ne sont finalement pas les leurs. Que d'hypocrisie.
Su(r)vivre et vivre pour soi. Certains viendront en grand donneur de leçon dire que t'es un égoïste mais au final c'est toujours le plus con qui se pointe en donnant des leçons, j'aime bien ces types la, c'est tellement drôle de les faire tourner en bourrique, ils sont dénués de toute repartie et bégaye à peine le premier propos contré.
Le monde est mon t(e)rrain de jeu.
On me cherche mais on ne me trouve pas. Je suis un fantôme qui est juste passé par la.
Quand la solitude m’étre(i)nt trop fort, je sors, c’était le cas hier, j'ai rencontré une gon(z)esse marrante, elle m'a presque mis a court de repartie. Mais finalement comme chacun de mes paris j'ai gagné. Et je ne pense pas qu'elle m'oubliera de si tôt ... Mais soyons honnête de ce coté la, c'est réciproque. C'est pas tout les jours qu'on rencontre quelqu'un qui a des mots aussi affûtés que les miens.
Quelque chose me dis qu'on a pas finis de s'amus(e)r. »
- Spoiler:
« Il fait sombre ... Depuis combien de temps j’étais la? Ces sylvaris sont débiles, cauchemar ou pas ... Le cauchemar c'est gamin sadique pourris gâté, pour les autres c'est gamin candide ...
Malheureusement pour moi c'est entre les mains des pourris gâtés que je suis la ... Et faut bien admettre que ce sont des sadiques ... Ils veulent se la jouer scientifique façon asura et la ils se sont dit et si on le torturait et le foutait dans un cocon voir si ça marche sur des non sylvaris ...
J'ai mal et c'est à peine si je peux respirer ... Ça fais combien de temps? Pas de lumière qui filtre ... Assez longtemps en tout cas pour que j'ai perdu la notion du temps ... J'ai soif ...
Mais ils ne me briseront pas ... Soyons honnête ... Me laisser vivre c'est une erreur qu'ils vont payer très chère ... Parce que je vais sortir de la ... Et quand ce sera fait ... Je les tuerai tous un a un ... Mais la j'ai froid ...
Je dois résister à tout prix ... Combien de temps maintenant ... Un mois au moins? Plus? Moins? J'ai aucun repère ... A vrai dire je ne sens plus mon corps ... Alors qu'est ce que peux bien changer maintenant qu'ils me sortent de la pour leurs petite séance de torture quotidienne ... Faut que je garde l'esprit clair ... Mon corps peut bien rompre mais si j'ai l'esprit clair j'en verrais le bout ... Me parler ... Encore et encore ...
Je me sens mieux ... Comment je suis sortie d'ici ... Qui c'est ce gamin gris qui me soigne ... J'entends rien ou presque j'entends je crois ... "Akoochimoya tout va bien maintenant." ... »
- Spoiler:
« Parfois les choses tournent mal. Depuis quand j'avais cessé de faire confiance.
La survie se fait souvent au prix de la solitude. Je parle la de vrai survie, pas de la survie que vous pouvez voir tout les jours en regardant votre voisin dans sa vie pathétique ... Mais dans le fond qui suis je pour juger. Je suppose que chacun voit midi à sa porte.
Moi je vous parle de survivre dans l'adversité. Quand on a traversé que des galères, les unes après les autres, quand on a connu la trahison, cette trahison venant même d'être qu'on aurait considéré comme cher.
Cette survie la c'est la vrai survie mais a dire vrai ça dépends du train de vie qu'on mène, le casanier ne devrait rien avoir à craindre.
Mais (q)uand on mène une vie pleine de risque, ça prend tout son sens.
Depuis longtemps je me suis refusé à ça.
La solitude n'est pas une compagne si ingrate. Mais elle est froide. Elle étreint votre cœur et jamais ne vous réchauffe mais jusqu’à maintenant elle m'a toujours bien servit.
Oh ne me voyez pas comme un ermite dans une cabane au milieu du désert hein, je suis un mondain, je côtoie les autres et j'ai (u)n certains succès auprès de la gente féminine. Je participe à des soirées guindés de celle ou tout le gratin se réunit.
Bin oui quand vous voulez délester quelqu'un de quelques biens surtout de ceux de valeur, faut commencer par mettre un pied dans sa vie, l’étudier comme si vous le courtisiez, que ce soit un homme ou une femme, s'approcher de sa cible au plus près, être son meilleur ami, son meilleur amant ... Faire partie de son quotidien, s’insérer dans sa routine, s'insinuer dans sa maison jusqu’à pouvoir y avoir une totale liberté de mouvement.
N'importe qui peut forcer une porte, briser une fenêtre et voler monsieur tout le monde ou t(a)basser un ivrogne mais franchement qu'est ce qu'on gagne à ça? Monsieur tout le monde est dans la merde tout le temps c'est a peine s'il peut payer ses rentes et la bouffe de ses braillards et l'ivrogne franchement le type a déjà tout perdu dans la vie y compris sa dignité.
Mais entrer et sortir sans laisser de trace en étant au dessus de tout soupçon ça s'est magique, que cette personne de part son influence exige que vous meniez l’enquête parce que vous êtes un grand détective, consultant ou ancien soldat peu importe son influence fait que vous dirigez et que vous emmenez l’enquête sur la voie que vous voulez. Parfois ça tombe sur du vide, oh on ne retrouve rien d'autre fois vous trouvez un mari de ceux qui battent leurs femmes et leurs gosses et le mec sortira plus jamais de prison, la clé est jeté si profondément qu'on doute un jour revoir sa cellule ouverte, des (t)rafiquant d'oeuvre d'art de ce qui braconne et dépouille les infériorités comme on braconne les dolyak pour leurs peau. Franchement? La société devrait me remercier, faudra que j'y pense si un jour je me fais prendre. Mais bon ça n'arrivera pas.
Moi je vous parle de gagner gros, je vous parle de diamant, d'a(r)t, de chose qui sont impossible à chiffrer. Et les proprios c'est limite s'ils vous demandent pas eux même de les dépouiller. Soyons franc, moi j'y gagne et personne n'y perds, la majorité du temps les œuvres sont assurés et j'envoi la lie de l'humanité en prison. Parfois je fais même ça pour les bonnes œuvres hein, genre rendre un héritage familial ce genre de connerie bon oui je perçois un salaire pour ça. Mais bon on peut pas vraiment vivre d'amour et d'eau fraîche.
J’écris, j’écris mais je me vide d(e) mon sang la ... Elle commence à tarder ... Moi qui compte sur ses compétences d'infirmière hors norme puis je suis sur que j'aurais un bonus. Heureusement qu'elle n'a pas placé de piège à loup sous ses fenêtres comme elle l'avait promis parce que bon, j'ai besoin de mes jambes hein.
Parfois seulement parfois on ne peut pas esquiver une balle perdue, pour moi c'est pas la première mais c'est la première fois que j'ai confiance en quelqu'un pour me retaper. Généralement je me démerde. Mais à dire vrai, j'ai envie de la voir. »
- Spoiler:
« Nous gardons toujours le souvenir de la première vie qu'on brise ou plutôt de la première vie qu'on prend. C'est une chose qui nous marque à jamais, un visage qu'on n'oublie jamais, peut être même une cassure au fond de nous, dépasser la frontière entre le bien et le mal et ceux même quand c'est notre propre frontière.
Depuis la mort de mes parents je me suis toujours répété que je serais fort, plus fort qu'eux, je me voyais conquérir le monde, tuer à tour de bras, jamais je n'aurai imaginé que c’était en fait si difficile. Peu importe les circonstances ...
Nous étions en marche dans la foret de Caledon, c’était une de ses rares humaines qui s'y aventurait à l’époque, soyons franc Maguuma n’était pas franchement un lieu touristique, cet engouement est assez récent.
Il y eut des bruits, on nous poursuivait, c’était une adulte aux formes plantureuse et soyons franc j'en étais à la moitié de mon adolescence autant vous dire que c'est a peine si ma langue n'a pas touché le sol quand je l'ai vu. Ça devait être sans risque alors on m'a désigné comme guide, je connaissais la jungle comme ma poche. Je devais l'emmené dans les Terres sauvage de Brisban.
Puis il y eut ce coup de feu, elle était touchée à l’épaule, soyons franc j’étais terrifié. J'aurais aimé pouvoir dire que non mais j'ai eu peur, une peur de celle qui vous prends au ventre et vous paralyse de celle qui s'insinue jusqu'au plus profond de vos os. Mais il fallait bouger, finalement rester sur place c’était mourir, nous devions rester en mouvement, coûte que coûte ...
Elle était brune et belle difficile de se dire qu'il sagissait d'une femme soldat ... Ou d'une pirate? Bin l'Arche étant dirigé par un conseil de pirate, est ce que les gardes du lion ne sont pas des pirates finalement eux aussi? Bref passons sur cette question hautement philosophique et inutile ...
Nous traversions les fourrés, j'avais pensé que prendre les voies les plus difficile serait malin et j'avais raison, il avait fallut peu de temps pour que nous semions nos poursuivants. Mais nous n’étions pas à l'abris pour autant et qui nous canardait d'ailleurs? On ne savait pas grand chose. Ici je tirerais la plus grande leçon de ma vie, aussi dure que cela puisse paraître, l'information c'est la clé de toute victoire et l'information c'est le vrai pouvoir. Quand on y réfléchis ça devrait être évident pour tout le monde, t'es en sous effectif cerné mais la vérité c'est que si tu connais ton ennemis, tu sauras réagir et avoir une chance, si nous avions su qui nous poursuivait, ça aurait surement changé la donne.
Mais nous ne savions rien. Du coup on a marqué une pause, j'avais de l'onguent Sylvaris et vous pouvez me croire quand je vous dis que la dessus aussi immature soient ils, les Sylvaris sont de sacré médecin pour tout ce qui est plaie. Puis le jeu en valait la chandelle, imaginez un peu la scène, elle du virer son haut ! C’était un haut en cuir dur qui était fait d'un bloc et elle n'avait rien en dessous, bon d'accords elle avait son soutif et vu la taille de ses obus je peux vous dire que ce jours la je me suis sentis devenir un homme. Passons sur ce genre de problème après tout j’étais un ado hein et je ne voyais pas des humaines tous les jours non plus donc mettez vous un peu à ma place et vous réaliserez que pour moi c’était un peu le but de ma vie qui venait de s'accomplir du moins à l’époque mais pourquoi je parle encore de ça? Bref j'ai appliqué l'onguent et un bandage, j’étais assez doué pour ça les premiers soins, souvenez vous que les sylvaris qui s'occupe de moi sont plus jeune et c'est curieux un sylvaris, je vous laisse imaginez combien de bobo je soignais à la semaine, quand vous aurez une petite idée, multipliez par dix.
Puis nous nous sommes remis en marche et quand enfin nous étions rendue à destination, les coups de feu reprirent, ces types savaient ou elle devait aller ... C'est a partir de la qu'elle a pu voir qui la poursuivait ... On a couru de nouveau, elle me confiait que la mission était annulé alors une fois de plus les voies impraticable et inconnus de la plupart. Retour au Bosquet c’était l'objectif du moins.
Mais nous ne verrions jamais le Bosquet ensemble, elle venait de glisser et le bilan était pourri, deux jambes cassé et elle était coincé sous un tronc ... Impossible de le déplacer trop lourd pour moi, j'ai tout essayé, tentez de faire une poulie, faire pression, creuser, tirer, pousser, user de divers ustensile et de branche pour faire bascule mais rien n'y faisait.
Dans le fond, elle avait été courageuse jusqu'au bout, je m'en tirais sans rien elle avait couru de nouveau deux balles dans la jambe droite, j'ai promis d'aller chercher du secours, elle avait juste à m'attendre.
Elle avait refusé. "Tue moi, nous avons des hommes infiltrés dans l'organisation bandit qui se développe à Brisban, s'ils me trouvent ... Ils me tueront mais avant ça ils me tortureront et je finirai par céder, leurs donner le nom de chacun de nos agents infiltrés. Il ne faut pas que ça arrive."
Elle avait placé un revolver dans ma main, j'ai de suite eu l'impression que cela pesait des tonnes ... Je pense avec du recul que c’était le poids de sa vie, car il m’était impossible de lever l'arme. Elle suppliait et moi j'ignorais quoi faire, j’étais un gamin terrifié, j’étais pas prêt, j’étais paumé ... Alors je l'ai enlacé, j'ai lâché le revolver, je l'ai enlacé, elle suppliait, encore et encore ... Alors je l'ai poignardé, dans le dos alors que je l’enlaçais ... Elle n'a rien vu venir, elle est morte dans mes bras, j'ai vu la vie quitter son regard ... Son corps se désarticuler comme un pantin de bois, je pleurais ... Mais il restait des choses à faire, brûler son corps, réussir à rentrer, je ne saurai décrire combien tous ça a été douloureux ...
Première vie ... Et ce n’étais pas pour survivre, ce n’étais pas parce que je la détestais, peu importe les circonstances, je venais de prendre une vie ...
Avec le temps certains pense que ça devient plus facile de tuer mais c'est faux, c'est probablement vrai pour un sociopathe ... Mais non ... Jamais je n'oublierai son visage, parfois elle me hante encore, je n'ai jamais vraiment réussi à me défaire du sentiment de culpabilité en particulier envers elle. Si j'avais été meilleur guide, si j'avais moins tremblé, nous aurions vu nos assaillants la première fois et nous aurions pu rentrer plus facilement ... Si ...
Depuis ce jour, je ne supporte pas de voir une vie gâchée. J'ai tué et je tuerai de nouveau, parce que parfois il n'y a rien à faire. Mais une vie gâchée, non ... Les suicidaires m'insupportent ... Tout ces gens qui se plaignent de la vie, tous ceux qui gâchent la leurs dans la drogue ou pire ...
L'information c'est le pouvoir, la survie, la vrai force. A jamais je saurai tirer profit de cette leçon pour qu'elle ne soit pas morte en vain. »
Sur une page, d'une autre écriture, plus fine et aéré, les mots suivants étaient noté : - Spoiler:
« De la version des Ecrits de Grenth, 48 ave, Livre des Six, Apocalypse, chapitre 6 vers 1 à 8
Et j'ai vu qu'un des cavaliers avait ouvert un sceau, et j'ai entendu, comme si j'entendais le son du tonnerre, une des quatre bêtes qui me disait : « viens et regarde ». Et j'ai vu sur un cheval blanc un cavalier qui tenait un arc. Une couronne venait de lui être accordé et il partir pour conquérir. Et quand il ouvrit le deuxième sceau, j'ai entendu la deuxième bête dire : « viens et regarde ». Et un autre apparut, sur un cheval rouge : il reçut le pouvoir d'enlever la paix de la terre pour que les êtres humains se déchirent entre eux. Et il reçut une épée. Et quand il ouvrit le troisième sceau, j'ai entendu la bête dire : « viens et regarde ». Et j'ai vu un cavalier sur un cheval noir ; et il tenait entre ses mains une paire de balances. Et j'ai entendu une voix, qui provenait de la créature dire : une mesure de blé pour une pièce de cuivre, et trois mesure d'orge pour une pièce de cuivre ; Et les huiles et le vin ne seront pas touchés. Et quand il a ouvert le quatrième sceau, j'entendis la voix de la quatrième créature dire : « viens et regarde ». Et j'ai regardé, et sur un cheval pâle, se dressait la mort et l'outre-monde le suivait. Le pouvoir de tuer avec l'épée et par la famine toutes les créatures de la terre. »
Grenth a clôt la porte avec sept moissonneurs. Dhuum est en sommeil dans le Hall du Jugement.
Si un jour on lit c'est lignes, c'est que l'heure est venu de réveiller le moissonneur qui fut mien un jour, celui qui a bue mon sang, alors que nos mots conjoint rejetaient une fois pour toute le premier d'entre eux dans le néant.
Le sacrifice de l'un est le premier pas. Son héritage, tracé dans sa vie, n'est qu'un commencement. Il vint en premier, et montra la voie. Dans ses entrailles, les traces de pas sont marqué.
Desmina connaît le deuxième pas. Elle sait que seul le pénitent connaît la voie. Elle sait que Fidèle et Véritable sont ses noms. Elle sait que ses noms ne sont pas Fidèle et Véritable. Elle sait que ses yeux sont de feu, et que son crâne est ceint de couronne. Elle sait que son vêtement est teint de sang. Elle sait qu'un nom est écrit, sur celui-ci et sur sa cuisse. Elle sait qu'il reviendra. Elle sait que l'heure de son retour marque le deuxième temps. Elle sait que sa cuisse marque le troisième temps.
Quand l'esprit se perdra, souvenez-vous de Cobiah Marrin, souvenez-vous de son histoire, souvenez-vous de l'Arche. Allez le trouver. Dites-lui que vous êtes perdu. Il saura vous guider vers la vérité, et sa voix vous montrera la voie. Suivez-le. Que nul crainte n'assaillent vos cœurs, car, quand les Ténèbres sont grandissantes, lui connaît le chemin. Avancez à ses côtés sans peur, car la peur est absente, et tout n'est qu'apparence. Nul lueur, nul reflet, nul ténèbres, nul obscurité ne le ferrait dévier de sa route.
Aller à Cantha. Demandez leurs de vous contez l'histoire de la Maison Salicaceae. Demandez-leurs l'origine de la tristesse qui les guide, car cette tragédie devra vous éteindre, pour que la connaissance se fasse.
Alors, vous le verrez, le moissonneur qui fut mien, caché dans le sang du sang de mon sang, sang de l'innommée, innommée dont la perte fut de vouloir sauver la folie d'un esprit malade, esprit dont la maladie se nomme vérité, vérité qui est maintenant esprit. Suivez l'esprit, écouter la vérité. Le moissonneur vous attends là où est l'origine de la faiblesse de chacun, là où est la force de chacun. L'innommée relâchant le fléau vous montrera le moissonneur. »
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